Le blog de Viré par des Cons

Telle est la question que je me pose et bien évidemment, ce n'est pas une généralité car fort heureusement, il existe des femmes superbes et adorables que je ne citerais car le sujet principal de cet article c'est les emmerdeuses au travail.

Tout est parti d'un constat. En général, le monde du travail n'est pas un lieu facile où on cotoie plusieurs personnes à la personnalité, à l'origine ou l'éducation différente. On remarque souvent quand on commence dans une entreprise, une usine ou un magasin qu'il y a des groupes "d'amis" ou plutôt des clans. C'est pas facile au départ de se faire sa place avec souvent des mises à l'écart.

Ca arrive souvent que quand vous êtes trop sympa, vous êtes pris pour l'idiot de service ou plutôt un abruti. Bien évidemment, tout n'est pas montré ou dit en face mais toujours par derrière avec une incroyable lâcheté. Ce n'est pas par mysoginie que j'affirme cela mais le plus souvent, quand il y a un problème, qu'il soit le plus anodin soit-il, c'est toujours à cause d'une ou plusieurs femmes avec une malveillance hors norme.

Je ne comprends pas pourquoi au travail, il y a toujours une bande de commères hypocrites qui vous feront toujours un grand sourire et par derrière, elles seront toujours les premières à vous casser et à vous dénigrer auprès des autres collègues et des supérieurs. Toujours du zèle auprès des responsables pour bien se faire voir et se sentir protégée et intouchable.

C'est vraiment écoeurant.

Au travail, même si j'ai travaillé avec des femmes adorables, il n'empêche que j'ai déjà assisté à des scènes écoeurantes comme de la trahison envers des personnes soit disant de confiance qui étaient avant tout des traitresses. Vous n'imaginez pas les conséquences qui ont suivies et ça, c'est toujours devenu d'une ou plusieurs femmes.

Attention, il y a des hommes salopards au travail mais ça n'a rien à voir avec la méchanceté féminine. Un homme c'est différent mais oui, il en existe des salauds au travail.

C'est pour cela, qu'elle soit la plus adorable ou la plus gentille, je me méfie surtout des femmes au travail. Rien empêche un agréable bonjour ou un au revoir mais jamais je ne raconterai ma vie privée, mes problèmes personnels avec un ou une collègue de travail ou autre.

Au travail, en général, les femmes sont de grosses commères. Souvent, elles se plaignent de leur travail alors qu'il est pépère en oubliant le nombre de chômeurs qui rêveraient d'être à leur place. Surtout, les femmes sont de grandes curieuses. Elles veulent tout savoir, dans le moindre détail, même si l'info est anodine et sans importance.

Un moment, on se demande si on est là pour travailler ou juste dans un salon de thé.

L'important, c'est de faire avant tout son travail et d'ignorer ces nuisibles.

John-Eric Hexum

C'est fin 1985 que Lionel Kazan se révéla au grand public avec son premier 45 tours "Marie, ma vie" produit par Orlando, le frère de Dalida.

Son deuxième 45 tours était "Kamikaze" sorti peu avant l'été 1986. C'était une reprise moyennement réussi de l'excellent "Give me up" de Michael Fortunati. "Kamikaze" n'avait pas marché.

Il faudra attendre 1987 pour son grand retour avec "Détournement de majeur" avec les frères Benzi à la guitare. Un look beau mec et une chanson bien produite qui eut un succès d'estime.

Dommage que sa carrière s'arrêtera en 1989 et depuis plus rien.

Lionel Kazan était pour moi l'un des beaux gosses des années 80. J'adorais ses chansons et son style. Il n'était pas simplement un chanteur à minettes même si son producteur le formatait pour cibler un public précis.

Lionel Kazan avait beaucoup de talent. Ça serait super de relancer sa carrière avec des nouvelles chansons, un album et une tournée.

John-Éric Hexum

Telle est la question que tout le monde se pose.

Quand on entre dans le marché du travail, on a l'impression au début que tout va bien se passer et que tout le monde est sympa. Alors que non.

On découvre rapidement les différentes personnalités des collègues et aussi des responsables sur le lieu de travail.

Au fur et à mesure que l'on bosse, on se rend compte de la méchanceté et de la malveillance de certaines personnes, surtout quand vous êtes populaire et super sympa. Ca, personne n'apprécie cela et c'est plus de la jalousie.

Le problème au travail c'est qu'il y a beaucoup de copinage et le mélange de l'amitié et du travail alors que tout le monde pertinemment que l'amitié et le travail est incompatible.

Tout est hypocrite ! Certaines personnes cherchent à manipuler des idiots utiles pour arriver à leur fin. Beaucoup de fayotage de la part de lèches cul avérés qui sont les premiers à critiquer par derrière l'intéressé.

Pour vous dire, il faut se méfier de tout le monde au travail, surtout des personnes que je qualifierai de trop gentil car la gentillesse, la vraie gentillesse au travail ça n'existe pas.

Quand une personne est vraiment adorable, elle est prise pour une imbécile et un signe de faiblesse alors que la gentillesse devrait être une norme de normalité.

C'est sûr qu'au travail, on ne peut pas plaire à tout le monde mais cela n'est pas une raison pour avoir des agissements ou mettre en place un plan pour dénigrer dans un premier temps la personne visée et puis ensuite, par opportunisme crapuleux, lui coller un avertissement pour une raison débile et la virer le plus rapidement possible.

Sans être sexiste, j'ai remarqué que c'est souvent les femmes qui créent les problèmes sur le lieu de travail. Je constate qu'elles sont de vraies commères, qu'elles parlent trop, qu'elles sont trop curieuses et qu'elles forment des clans. Elles agissent souvent par derrière avec une incroyable lâcheté légendaire.

Attention, il y a des hommes qui sont aussi pourris que les femmes mais les hommes, c'est assez différents. En général, même si il en existe, ils ne sont pas dans leur grande généralité des commères. Les femmes oui.

Moi, pour survivre dans une ambiance de cons, j'ai pris la décision de me limiter à un bonjour et au revoir et de ne faire que mon travail. C'est beaucoup mieux comme ça car hélas, on ne peut faire confiance en personne et aussi, les gens changent en fonction de leur entourage et de leur intérêt. Ne rien dire c'est tromper l'ennemi. Quand on ne dit rien, les personnes malveillantes seront mises en difficulté et c'est ce qu'il faut faire.

Si il faut être jugé, c'est surtout au niveau du travail. Le reste, on s'en fiche.

Si il y a des personnes avec leur langue pleine de merde après avoir lécher abondamment le cul de leurs supérieurs pour s'auto-protéger, il faut bien se dire que leur comportement ne les rendra jamais libre.

Être neutre, faire son travail correctement, ne parler à personne hormis les bonjour et les au revoir et ça suffit.

Le lieu de travail n'est hélas pas un endroit où on se sent bien.

On bosse avec des personnes, plus ou moins ambitieuses, dont certaines ont envie de monter et qui sont prêtes à trahir une belle amitié pour pouvoir monter de grade. L'état du chiffre d'affaires est une prise de température et quand la température n'est pas bonne, le harcèlement moral surgit en désignant souvent un coupable de tous les maux de l'entreprise.

Il ne faut pas se laisser faire et être plus malin que les autres. Il faut faire des coups de pute mais toujours en douce, sans jamais le répéter à personne.

Amusez-vous à rendre fou vos collègues malveillants et vous verrez, ça les déchirera et se renverront la balle.

Pour finir, c'est dommage que pour une question d'anti-racisme, les entreprises ont un quota de cons plus ou moins élevé. Car une entreprise avec un pourcentage de 0 con n'existe pas ou est plutôt à vérifier.

John-Eric Hexum

Depuis toujours, je n'ai jamais été un grand amateur de football mais je reconnais que j'ai toujours eu une grande sympathie pour l'équipe de France. Attention, je ne parle pas de celle d'aujourd'hui mais de celle des années 70 et 80.

Pour moi, c'était vraiment l'âge d'or du football français où regarder ce sport était un vrai spectacle. J'adorais l'équipe avec Platini, Rocheteau, Giresse, Janvion, Trésor, Tigana, Six, Bats et les autres. C'était vraiment une équipe qui incarnait bien les valeurs du sport et savait très bien défendre avec honneur et fierté les couleurs du drapeau français.

Le football français a vraiment décliné dans les années 90. Là, c'est vraiment devenu que pour le fric. Ca avait déjà commencé à l'époque avec la naissance de Canal Plus qui avait fait flambé les droits TV et aussi, la privatisation de TF1 qui achetait à prix d'or les matchs pour faire plus d'audience donc, plus d'entrées publicitaires.

Petit à petit, dans les années 90, j'ai remarqué que le football français était devenu très politique ou plutôt, politiquement correct. On n'a pas le droit de souligner l'origine des joueurs au risque de se faire trainer dans les tribunaux mais personne n'est dupe.

En 1998, quand la France a gagné la coupe du monde, tout le monde a érigé Zidane comme un héros et aussi comme un symbole de l'intégration. Franchement, cette récupération politique m'insupporte. Il ne faut pas oublier que Zidane est un faux patriote mais un véritable exilé fiscal car il vivait en Espagne et n'a donc jamais payé ses impôits en France. Mais ça, c'est silence radio par rapport aux journalistes manipulateurs qui veulent toujours donner une belle image de Zidane.

Dans les années 2000, là j'ai vu une équipe de France qui n'avait que le maillot de Français et pour le reste, rien du tout. Je remarquais des joueurs gâtés et pourris par l'argent, méprisant la France et les ses valeurs. Ce n'est pas du racisme mais plus du dégoût envers ces joueurs dont certains sont issus de l'immigration et qui ne sont aucunement reconnaissant envers ce beau pays qui les a rendu ce qu'ils sont devenus aujourd'hui.

En ce moment, c'est la coupe du monde de football et mon plus grand rêve c'est la défaite de l'équipe de France car pour moi, tous ces joueurs sont de faux patriotes. L'important pour eux c'est d'honorer leur contrat et gagner encore et encore plus d'argent. Ils savent très bien qu'une victoire française à la coupe du monde aurait un impact politique positif dans le pays et aussi, leur cote monterait très vite.

Pour finir, cette équipe ne me fait pas rêver. L'envers du décor est dégoûtant. La politisation du sport français m'insupporte et le sport doit avant tout rester du sport et rien d'autre.